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De : Narwa Roquen Date : Vendredi 15 juin 2007 à 17:48:59 | ||
Je suis restée un moment perplexe devant cette histoire. Car comment savoir quelle conscience de soi peut avoir un individu plongé dans un sommeil artificiel qui s’apparente à un coma ? Tu as choisi de lui garder des souvenirs, dont celui de sa condamnation ( « je ne me réveillerai pas », des sensations physiques « j’ai la peau qui me brûle », et des sentiments encore violents, même après des années. Je me dis qu’il y a de quoi devenir fou ! Et que c’est une torture digne de l’Enfer de Dante... Alors si tu te mets à rivaliser de noirceur avec Maedhros, je vais avoir du mal à garder ma joie de vivre, d'autant que le temps est pourri... Par contre j’aime beaucoup la fin, sans doute parce qu’une étincelle de vie dans ce contexte pesant apparaît comme un soulagement...même si pour le héros c’est une souffrance supplémentaire... Juste un détail : « cauchemardesque » existe, mais on écrit cauchemar, sans d . Fantaisies de la langue française... En tout cas j’ai été ravie de te revoir parmi les participants à la WA ! Narwa Roquen, heureuse de vivre par principe et par vocation, na! Ce message a été lu 6012 fois | ||