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De : Estellanara Page web : http://estellanara.deviantart.com/ Date : Lundi 14 septembre 2009 à 17:40:44 | ||
J’aime bien ce texte court, qui dégage un style certain, malgré pas mal de petites maladresses et fautes d’orthographes. L’idée de base est agréablement sado-masochiste et la dernière scène est assez poétique. Tu veux dire que la douleur était sa reine ? Cela aurait pu être plus claire. Je te propose quelques améliorations que tu es, bien évidemment, libre d’accepter ou pas : il faudrait un titre. Pour l’orthographe, voici ce que j’ai relevé : - détermination nourriE - spectre qui le hanteraiT - Comment pourraiS-je - si cela t’esT inconcevable - A mes cÔtés - Il ne lA revit plus - sur une terre qu’il ne pourraIT - son esprit engourdi - plus personne en ce monde n’aimeraIT - répondrai à vos attentes Du point de vue des formulations, il ne faut pas pêcher par excès de concision. « s’il m’est déjà impossible de penser à autre que toi » : « à une autre qu’à toi » ou « à autre chose qu’à toi », je pense. J’ai relevé de curieux emplois de phrases nominales mais bon, c’est un style. « Le coeur n’est pas constitué pour contenir une telle puissance, comment, lui, avait pu se consumer si lentement et vivre encore, reste un mystère. » : Cette phrase est complexe en l’état. Je la scinderais en deux : « Le coeur n’est pas constitué pour contenir une telle puissance. Et comment, lui, avait pu se consumer si lentement et vivre encore, resterait un mystère. » « le guerrier en face s’exprimait à la hache » : ça c’est rigolo ! Il s’exprime avec une hache, un peu comme Zogrot l’orc, hihihi ! « des elfes à la grâce angélique, affleuraient » : tu as sans doute voulu dire « affluaient ». « Le chevalier déposa arme » : les armes. « Les elfes, petits oiseaux apeurés, s’envolèrent » : je ne sais pas pourquoi, j’aurais mieux vu « les elfes s’envolèrent comme de petits oiseaux apeurés ». Hormis cela, j’aime bien l’ambiance qui se dégage de ton texte. Est', c'est reparti. Ce message a été lu 7257 fois | ||