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De : Narwa Roquen Date : Mercredi 25 aout 2010 à 15:04:52 | ||
C'est un joli texte, écrit dans les trois dimensions de l'enfance ( le réel, l'imaginaire et le symbolique), avec un langage adapté à ton héros ( entre 8 et 11 ans?) . Les malheurs de ce pauvre garçon et sa manière à lui d'engager un processus de résilience (par le rêve, le souvenir et l'espoir) le rendent très attachant. Mais quoi que tu en dises dans ton intro, je trouve quand même dommage que ce soit si court. Je ne pense pas qu'il faille allonger ce texte-là, je pense qu'il faut s'en servir de base pour une histoire. Par exemple l'enfant serait recueilli par le menuisier un peu bourru, il resterait silencieux et cacherait sa boîte. Puis l'homme gagnerait sa confiance et l'enfant lui parlerait de sa boîte, et le dragon à faire leur servirait de lien. Ou bien un vieil homme va mourir et serre sa boîte contre lui pour l'emporter dans sa tombe. Il ne l'a jamais ouverte et ne l'ouvrira pas. Et puis finalement il va la donner à un enfant (au choix: un vagabond, un voleur de passage, son petit-fils...), parce que la transmisson est plus importante que la possession. Ou bien le petit garçon erre sur les routes au milieu d'un paysage dévasté par l'épidémie (cf: "Le hussard sur le toit", "La route" de Mc Carthy), et chaque nuit en serrant sa boîte contre lui il vit une réalité alternative heureuse (cf "Inception". Ou ce que tu veux... Bricoles: - tu es fâché avec les circonflexes! Boîte, disparaît, abîmer... - évidement: évidemment -une répétition: elle n'est pas finie... sa tête est finie - mon papa à commencé: a Le résumé de ton texte étant dans le titre, si tu veux embarquer le lecteur il faut l'entraîner un peu plus loin. Une idée excellente ne suffit pas, même si c'est sûrement le plus difficile à trouver... Ah les p'tits génies, toujours un baobab dans la main... Narwa Roquen,alias madame plus Ce message a été lu 8191 fois | ||