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De : Narwa Roquen Date : Jeudi 27 janvier 2011 à 23:12:44 | ||
L’histoire se complique. Abélard est-il un démon, un vampire, ou une autre créature inhumaine ? Qui est le monstre dans l’église, qui ricane et fait trébucher Lou, mais n’essaie pas de la tuer ? Et pourquoi Abélard part-il l’affronter ? Qui est l’inconnu de dernière minute, qui semble étrange mais pas hostile ? C’est bien, on croyait l’histoire finie, et ça rebondit, on est obligé de remettre en question ce qu’on croyait savoir, le lecteur adore ça ! Ceci dit il y a quelques détails qui clochent (hé hé un peu : - Je trouve que Lou accepte trop facilement l’idée qu’Abélard n’est pas mort - La porte de l’église : elle l’ouvre et la referme à clé ; où était la clé ? Dehors, dedans dans la serrure, ailleurs ? Quand elle repart, elle éjecte la barre... qu’elle n’a pas mise auparavant, ou en tout cas tu ne l’as pas dit... - 20 paysans poursuivent Lou : pour venger Abélard ? Si la population lui est favorable, pourquoi sonner le tocsin ? - Pourquoi a-t-elle cru que le barbu avait 4 pattes ? Et le tonnelet ? C’est Saint Bernard, qui peut être chien ou humain à sa guise ? Bricoles : -on cours: court - la première haie m’obligerait à me séparer des autres : Pourquoi ? Parce qu’elle pourrait la sauter et pas eux ? - j’ai raté la jugulaire : dans le texte précédent, tu parlais d’une artère. La jugulaire est une veine ; l’artère, c’est la carotide - Abélard... deux têtes de plus que moi ; le géant, à la fin : deux bonnes têtes de plus que moi : trouve autre chose - J’aurais une meilleure vue : j’aurai - Je risquerai de m’endormir : risquerais - Les vitres teintées : dans une voiture ; dans une église, c’est des vitraux - C’est moi qui ais celle : ai - Personne n’a pu rentrer : entrer - J’abjure ce rire : abjurer signifie : « abandonner solennellement une opinion religieuse » ; « J’abhorre », si tu veux, mais ce n’est pas trop le vocabulaire de Lou - J’éjecte la barre... je m’éjecte littéralement (encore un littéralement, cf épisode 2) - Il a agit : agi Joli, le « commode comme une truie qui allaite ». On a retrouvé le verbe « blinquer », c’est déjà ça. Rajoutes-en dans le parler local, il faut la continuité avec le premier épisode. Par exemple pour idiote ou crétine, tu n’as pas autre chose ? L’oie stupide et gourde, c’était mieux. Là, le lecteur est bien embarqué. Trouver ou ne pas trouver, là n’est pas la question. Ce qui m’intéresse, c’est de voir comment tu vas te sortir de cet embrouillamini, sans oublier le croc, l’ange gardien, Bartholomey, le tocsin... et toutes les créatures étranges... Narwa Roquen,pénible, accrochée.. Ce message a été lu 7241 fois | ||
Réponses à ce message : |
6 La plupart des réponses... - Netra (Ven 28 jan 2011 à 15:58) |