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De : Narwa Roquen Date : Vendredi 23 mars 2012 à 23:08:13 | ||
C'est délicieux, frais, juvénile. La nuit complice enveloppe les amants de sa douceur rassurante; le tableau est bien dessiné, j'y aurais juste ajouté une touche de parfum... Ca sent quoi, le nymphéa? La relation amoureuse est à peine dévoilée, laissant penser que le lien est plus affectif que physique, ce qui est tout à fait cohérent avec la jeunesse des amoureux. J'ai apprécié le savant mélange de rimes alternées, plates et embrassées. L'alternance masculine / féminine est respectée presque partout, sauf dans la dernière partie du 3° couplet. Enfin la constance des rimes en -ile et en -al(e) donne une douce unité à l'ensemble. Juste deux questions: - le temps qui s'ensuit... ou qui s'enfuit? - l'union fatale: fatal, certes dérivé de fatum ( le destin) a néanmoins le plus souvent une connotation négative. Seulement voilà: une rime en -ale... Ce n'est pas moi qui vais t'apprendre à écrire des chansons! Mais je suis ravie de ta petite visite à la WA, tu nous as manqué... Narwa Roquen, ça me rappelle des après-midi entières à l'Orangerie, il y a longtemps... Ce message a été lu 7298 fois | ||
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