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De : Narwa Roquen Date : Dimanche 29 novembre 2015 à 22:14:29 | ||
Comm Maedhros, ex n°141 Jolie petite histoire de pure SF, avec un clin d’oeil à MacBride Allen ( et donc à Asimov). C’est une histoire paradoxale, où le hasard donne le bonheur et le reprend à sa guise. Le thème est bien respecté, puisque le héros devient le trait d’union entre l’homme et la machine ; face à la sophistication extrême de la technologie, il intervient tel un génial McGyver, prosaïque et réaliste... C’est bien trouvé ! Les histoires d’amour finissent mal, c’est connu... Celle-ci te permet d’écrire un joli morceau de délire, vertigineux et cependant cohérent. Bricoles : - Dos qui se voutait : voûtait - Tout en buvant une tasse thé : de - Mais elle ne l’est pas : dans un paragraphe au passé, « ne l’était pas » passe mieux. C’est truffé de jolis passages : « voyages à temps réversible », « les ingénieurs cybernétiques... comme des derviches tourneurs », « les Eschervelés, les Naufragés des Escaliers », « ne parlez pas à un enfant des étoiles du temps qui passe...etc ». Tes mots composés sont triés sur le volet, j’ai bien apprécié le « terre-à-terre », à qui tu donnes un nouveau sens... Le fils de Gaïa est sûrement flatté d’avoir été tiré de sa mythologie poussiéreuse, et après un sursaut d’horreur j’ai fini par me résoudre à penser que, quoique délibérément provocateur, le titre était astucieux. Un bon moment de pure distraction, dont je te remercie ! Et la musique est magnifique... Narwa Roquen, toujours là Ce message a été lu 6787 fois | ||