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De : Maedhros Date : Lundi 17 avril 2017 à 19:35:01 | ||
En fait, dans cette seconde version de l'histoire, tu montres mille et un détails qui racontent la structuration psychologique des deux protagonistes. D'un côté, l'univers de la thérapeute est décrit minutieusement et c'est comme si elle avait voulu bâtir une espèce de cocon protecteur, tout en couleurs douces et apaisantes et avec des photographies qui ouvrent des petites fenêtres vers des philosophies orientales prônant la sérénité et l'innocence. Tout le contraire des tumultes, j'imagine, qui peuvent sourdre des cabinets des psys. D'un autre côté, le patient est tout en brisures et en refus et son accoutrement et chacun de ses gestes parlent pour lui, parlent de lui. C'est un être minéral qui mure tout derrière la pierre qui le constitue. In fine, c'est donc un énorme bloc de pierre, lourd et immobile, auquel va s'atteler la jeune praticienne . Tout ce que j'ai pensé à la fin de la lecture, c'est que cela n'était pas gagné. Grâce aux détails abondants, tu parviens à montrer plus qu'à raconter quitte à peut-être trop en mettre. L'exercice était ardu et tu ne t'en tires pas mal. Au rayon des bricoles : - dans les tons de vert tendre, framboise et gris : dans les tons vert tendre, framboise et gris (plutôt) - et je propose qu’on se voie initialement : c'est très technique, non? - (...), et si, et ce que vous souhaitez (...) au quotidien, et ensemble on essaiera... : je n'arrive pas à comprendre le sens de "et si", sauf si elle bredouille vraiment? - râclement : raclement M Ce message a été lu 5959 fois | ||
Réponses à ce message : |
4 Comm' de comm' (my baby come, comme dirait Jane!) - Elemmirë (Mer 17 mai 2017 à 10:31) |