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De : Elbereth Date : Mardi 21 octobre 2003 à 13:52:24 | ||
...47 minutes, cinq-trois rallumages de cigarette(Pour être en bonne santé, ne fumez pas.) et quelques quelques cheveux en moins plus tard...Car ô rage ô désespoir, qu'est-ce qui me prend d'avoir à fumer des roulées...? Je ne me souviens plus vraiement du sujet de mon élucubration future dans le passé, mais par contre, je suis saisie d'un désir fou de déblatérer sur l'augmentation du prix des cigarettes, quite à faire de Faeries un cénacle de contre-pouvoir... Ouais!(cri latexien) Vous n'avez probablement pas imaginé à quel point cela change le monde qui nous entoure, que le coût de ces petits cylindres se rapproche à présent de deux bouteilles de lait bio. En effet, si l'un est nourrissier pour les bobo béats de la rive gauche, l'autre ne l'est pas moins pour tout une couche sociale désireuse d'exhumer les restes de l'idéal écrivain, genre Blaise Cendrards-André Malraux.... Alors que la cigarette coincée aux commissures des lèvres étaient autrefois symbole de prolétarisme, elle va devenir une marque de richesse inénarrable...On ne pourra plus non plus aquitter sa bonne conscience en donnant de mauvaise grâce une cigarette qui avait élu domicile dans la poche arrière du pantalon, à un SDF en quête de piécettes. On ne pourra plus se sentir rebellle (Ouais!) en fumant une cigarette à Henri IV. On ne pourra plus se dire communiste en sortant au Flore un paquet rouge. On ne pourra plus dire au Palais de Tokyo que l'on fait de l'art conceptuel pour le peuple... Enfin, c'est tout un symbolisme hypocrite qui s'écroule... Mais personnellement, je m'en fiche, je fume des tcht tcht, pas de marque, des cigarettes que l'on pourrait décrire par leur FINEsse et leur longueur approximative à 120 unités d'une longueur que j'ignore...donc question symbolisme communiste, on a déjà vu plus prégnant... Et tout à coup, je me ressouviens de ce que je voulais dire, voire même dire A Lairello... Mon très cher, ton entrée fracassante sur le faerium, c'est vilain, et même brûlant de miasmes présomptueux déglutis le long de ton oesophage coupable, de le qualifier ainsi toi-même. En effet,par exemple, j'aurais très bien pu m'en charger, en arguant que comme Théophile Gautier dans Le Capitaine fracasse, la littérature était comme une lumière dans le marasme... En effet, il me reviens un temps lointain ou toi, l'Homme, tu t'avançais les idéaux suitants de lueurs constellées et surtout l'épiderme fluorescent de ta dernière immersion dans l'air vicié d'la capitoule...Et tu pris l'habitude d'irradier, alors que la valie ardalambionesque causait noirceur et dépression moite avec des trolls... Psst...Je ne te lâcherai jamais avec ton passé compromettant...! Mouhahahahahaha Sur ce, je sens que mon doliprane (tm) ne fait déjà plus d'effet... Elbereth Ce message a été lu 4728 fois | ||
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