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De : Lomega  Date : Lundi 17 novembre 2003 à 12:54:48 | ||
| Lomega marchait sur le trottoir d’un pas rapide et agacé, le Russe à ces côtés. - Grrrmbll... Commence à m’énerver moi..., grommelait-il. Grrrmbll... On est jamais mieux servi que par soit même... Grrmbll... crotte. Oui, il était sacrément énervé. Une grève qui tombairt pile au moment où il voulait prendre l’avion, tu parles d’une malchance ! Ce serait un coup de l’Entité que ça l’étonnerait qu’à moitié. En plus ce foutu bipper qui s’était mis à sonner, avec sa sonnerie stridante. Bîîîîîîîîîp ! A en faire des cauchemars. Du coup il l’a donné à un Balrog SDF rencontré au coin d’une rue. Comme il était heureux en recevant ce présent. Lomega avait vu dans son oeil, la flamme de l’espoir retrouvé, de la reconnaissance pour celui qui venait de faire ce si beau geste... Bon en même temps, un Balrog c’est tellement bête qu’un simple bout de ficellelui aurait fait autant plaisir. Voilà les conséquences de quelqu’un qui est méchant avec tout le monde, et qui se retrouve sans ami, sans toit, sans chemise et sans pantalon. Problème qui n’arriverait jamais à Lomega car, sournois comme il était, il gardait toujours une réserve d’amis dans une chambre forte pour ne jamais être à cours de camarades pendant les periodes de recession amicale. D’ailleurs il était en train de penser que son stock commencait à diminuer et qu’il faudrait le mettre à jour. Enfin... Présentement il avait un problème plus urgent à régler. Il devait retourner au FBI pour prendre son jet privé supersonique acheté aux enchères en pièces détachées et recollées une à une avec une colle extra forte. Lomega regarda sa montre se rendit compte que le temps passait à une vitesse... C’est dingue. Il se tourna vers le Russe, croulant sous le poids des bagages de Lomega, dont cette superbe collection, Kombone à trous-lisses, instrument très en vogue sur les terres du Mélange. - Allez dépéchons-nous Kakaline. - Oye ! Oye ! répondit l’autre. Enfon, après quelques heures de amrche ( Lomega ne voulait pas payer un taxi car trop cher ) ils arrivèrent devant l’immeuble du FBI, avec ses 199.5 étages, car le 200ème n’était toujours pas fini. - Silence Kakaline maintenant, murmura Lomega à son destrier. C’est pas le moment de nous faire voir. - Oye ! Oye ! Les deux hommes traversèrent à pas circonspects la cour de l’agence et arrivèrent devant un petit bâtiment. Ils entrèrent, avancèrent jusqu’à un ascenseur et l’emprumptèrent. Ils descendirent à une bonne vingtaine de mètres sous-terre et se retrouvèrent dans un immense hangar souterrain, faisant office d’aéroport secret du FBI. Le jet privé supersonique de Lomega était bien là, prêt à décoller. Le télépathe installa ses effets dans la soute à bagages avec l’aide du Russe. ( surtout l’aide du Russes d’ailleurs ) - Bon voilà une chose de faite, dit Lomega en se frottant les mains. Allez Kakaline, montons à bord. Il me tarde de quitter ce lieu. Il s’assit au poste de pilotage et mit les moteurs en marche. - Kakaline, mon bon, fit-il. Va donc nous préparer de quoi manger pendant que je décolle. - Oye ! Oye ! - A ce brave Kakaline, se dit Lomega lorsque sdon destrier mulrtifonction eut quitté le poste de pilotage. Soudain, il aperçut Zogrot sur la piste qui lui faisait de grands signe. Lomega actionna la vitre électrique ( option qu’il s’était faite installée ) et héla l’Orc. - Qu’est-ce que tu veux ? - Je t’ai aperçu tout à l’heure et je t’es suivi jusque-là. Huk Huk ! cria Zogrot. - C’est bien t’auras droit à une image ! - Pour de vrai ! s’extasia l’Orc. - Heu oui, répondit Lomega, quelque peu médusé. Bon allez écarte-toi je vais décoller ! L’orc s’exécuta. - I’LL BE BACK ! hurla Lomega histoire de faire une sortie théatrale, puis il remonta sa vitre. Zogrot se cacha derrière un baril tandis que le jet supersonique avançait sur la piste souterraine. Quelque 100 mêtre plus loin, une ouverture secrête s’ouvrit et l’avion disparu dans le ciel. Zogrot, le visage noirci, resta figé pendant quelques instants, essayant de rassembler ses idées une à une, pour comprendre ce qui venait de se passer et rejoignit les locaux du FBI. Lomega, aaaah mais ! Ce message a été lu 4951 fois | ||
4202C - Un contretemps facheux
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