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 Exercice 19 : Maedhros => Commentaire Voir la page du message Afficher le message parent
De : Estellanara  Ecrire à Estellanara
Page web : http://estellanara.deviantart.com/
Date : Jeudi 2 aout 2007 à 17:09:02
Waouh ! Il faut suivre ce scénario tortueux, voire même carrément capillo-tracté. L’histoire est sympathique même si on frôle la confusion par endroits. J’ai relevé quelques lourdeurs de style, comme le lui/sa ici : « la vague qui lui mord sa peau si douce » ou le alors/soudain ici : « Alors, un vent glacé se déchaîne soudain ».
Il y a toujours autant de citations : Le bal des vampires, Le magicien d’Oz... pour celles que je vois. D’ailleurs, je me suis toujours demandé : dans Le bal des vampires, le fils du comte, ce ne serait pas lui qui aurait inspiré Lestat ? Tu ne trouves pas qu’il lui ressemble drôlement ?
« Il ne peut en rester qu’un cette nuit » We’re the princes of the universe ! Huhuhu !
Je me pose quand même quelques questions existentielles : pourquoi le voleur est-il l’homme aux neuf vies ? Comment le voleur sait-il qu’il doit arriver avant Lestat ? Ton postulat n’entre-t-il pas en contradiction avec les pensées et les sentiments de Lestat dans Le voleur de corps ? Il m'avait tout de même paru sincèrement horrifié par les contingences matérielles de la condition mortelle et sincèrement soulagé de retrouver son corps immortel... A moins que ta nouvelle ne se passe après la réapparition du voile de Véronique et de la vague de mysticisme qui en découle. Et là, faut voir...

Est', libera me...


  
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Réponses à ce message :
Maedhros  Ecrire à Maedhros

2007-08-03 14:20:09 

 RéponsesDétails
En fait je n'ai lu, encore que très rapidement et il y a quelque temps déjà, que deux épisodes des chroniques : Lestat le Vampire et Entretien avec un vampire.

Donc, je n'ai pas lu 4ème épisode, le voleur de corps ni les suivants d'ailleurs. D'où l'absence totale de cohérence entre l'aspiration de Lioncourt dans mon texte et le développement psychologique proposé par A. RICE.

Même si celle-ci excelle dans la description de ce monde parallèle au nôtre, et surtout dans la psychologie de ses créatures, ce courant littéraire est assez éloigné de mes domaines de prédilection habituels (science fiction sous toutes ses formes). Tiens, je suis en train de dévorer la Horde du contrevent (A. Damasio) sur le conseil de Fladnag, et c'est carrément jouissif. Il y a une inventivité, une poésie et un sens épique incroyables dans ce roman qu'il est urgent de découvrir. Pour établir un parallèle, il me rappelle quelque part le roman de Christopher Priest "Le Monde inverti " qui avait remporté en 1974 le Prix British Science-Fiction du meilleur roman.


Dans ce roman, "Helward Mann qui vient d’atteindre l' âge de 1.000 kms vit sur une planète inconnue dans une cité appelée Terre. Cette cité présente l’étrange particularité de se déplacer lentement sur des voies de chemin de fer. Au fur et à mesure de son déplacement, les techniciens de la Guilde des voies retirent les rails situées à l’arrière de la cité pour les placer à l’avant afin de lui permettre de continuer à avancer. Le chemin à suivre est fixé par la Guilde des topographes du futur et le but à atteindre est l’Optimum. De la fuite en avant vers cet Optimum dépend la survie de la cité car celui-ci se déplace continuellement et, plus elle s'en éloigne, plus elle subit d'étranges phénomènes affectant l'espace et le temps." (wikipédia pour le bref résumé).

Pour revenir à mes lectures, accessoirement, je bouquine un peu d'heroic-fantasy mais je trouve que ce genre devient le parfait exemple du bouquin de gare. C'est quasiment une production industrielle, surtout intiée par les anglo-saxons qui exploitent à mort le filon... Donc il y a vraiment quelques bons romans d'H.F mais parmi un océan de médiocrité affligeante, surtout au niveau du style et de l'imagination. En plus, avec des sagas qui durent, qui durent...et qui délayent l'argument jusqu'à la corde.

Par contre, le Bal des Vampires (1967) est LE film culte. Je ne sais pas si tu as vu le DVD ressorti récemment et qui comprend la bande-annonce d'anthologie? C'est à se tordre de rire. C'est vrai que le fils du comte a un côté très "aristocrate dandy" qui le rend proche de Lestat sur le plan physique. La scène de poursuite avec Alfred est aussi un grand moment.

M

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