Version HTML ?

Messages FaeriumForum
 Ajouter un message Retour au forum 
 Rechercher un message Statistiques 
 Derniers messages Login :  S'inscrire !Aide du forum 
 Masquer l'arborescence Mot de passe : Administration
Commentaires
    Se souvenir de moi
Admin Forum 
 Derniers commentaires Admin Commentaires 

 Commentaire Hivernale, exercice n°85 Voir la page du message Afficher le message parent
De : Narwa Roquen  Ecrire à Narwa Roquen
Date : Lundi 29 novembre 2010 à 23:00:38
C’est une histoire agréable, originale, bien rythmée, drôle, juvénile, pétillante, avec quelques ingrédients classiques de l’horreur : les morts-vivants, l’impuissance des héros, la peur de la mort, la possession de l’esprit... La construction est bonne. Les personnages sont sympathiques, l’intrigue rebondit en restant cohérente. Je suis juste restée un peu sur ma fin – faim, bien sûr. Elle est un peu abrupte (la fin). Et il n’y a pas de titre ! Le titre, c’est la carte de visite, c’est indispensable.


Quelques maladresses de style :
-répétitions : tu abuses du « persuadé » : deux tout proches au début, un vers la fin. « C’était définitivement... », « Et c’était... ». « Tout petit visage », « petit corps », « petites pattes », « quatre pattes ». « Semblable », deux fois tout près. « Communiquer »,« communication ». « Connexion coupa », « connexion coupée ». « Planche », deux fois.
- mettre la main : sur un objet, pas sur une idée.
- ma table d’autopsie de côté où une étrange créature : il faut mettre le « de côté »... ailleurs ; et le « gisait » à la fin tombe mal.
- définitivement : n’apporte rien
- Je devins blanc comme un linge : oui s’il est devant un miroir ; sinon, au mieux, il se sent pâlir
- je doutais fort qu’il s’en sorte seulement... : il ne peut pas douter, c’est lui qui inflige les punitions
- Ramener le plus de friandises : le plus possible, si tu veux. « Le plus » tout seul, ça ne se dit pas
- ceci ajouté à ma peur et je me retrouvais... : la phrase est trop longue et bancale
- qui m’attaquait depuis derrière : par derrière
- Comment cela pouvait être pire qu’être coincé : que pouvait-il m’arriver de pire que d’être...
- et de mes premières conclusions : d’après
- Son apparence complètement repoussante : l’adverbe est inutile ; idem un peu plus loin pour « complètement gris-argent »
- visage de la forme de celui d’une chauve-souris : trop de « de »
- des petites pattes pour le finir : bof
- au même titre : comme
- elle s’en servait pour son équilibre : pour s’équilibrer, ou pour garder son équilibre.
Ton petit monstre est bien trouvé, mais toute ta description rame. Il faut que tu réécrives entre « elle avait un tout petit visage » et « équilibre ». Condense, va à l’essentiel, trouve des équivalents.
- totalement baigné : entièrement
- tortures qu’il m’avait subir : oubli de « fait »
- planche à couper de cuisine : planche à découper ; cuisine est superflu
- de me rendre dans mon armoire : on entre rarement dans une armoire.
- mes jambes repliées sur moi-même : les jambes repliées

Comme te le faisait justement remarquer z653z ( surnommé Oeil-de-Lynx), l’oncle et le neveu s’expriment de manière trop semblable. C’est une des difficultés du récit à plusieurs voix : qu’on puisse différencier les personnages selon leur manière de s’exprimer.


Orthographe :
- je me levais et laissais : passé simple (action brève) : ai
- id : je la regardai
- lorsque je l’avais trouvé : trouvée
- différent du notre : nôtre (pronom)
- quel était encore ce soucis : souci
- ce fût un échec : fut
- je commençais à me détendre : commençai
- il me semblait aussi qu’une certaine hiérarchie se soit mise en place : se fût ; « s’était », est possible aussi
- n’y avait-il aucune femmes : femme
- cela ne les empêchaient pas : empêchait
- je pensais pendant un instant : pensai
- après quelques temps : quelque
- elle était arrivé : arrivée
- je regardais aux alentours : regardai
- entrain de prendre le pas : en train
- l’ayant trouvé, il l’avait porté : trouvée, portée (la créature). Idem : ligotée
- je la cherchais : cherchai
- je cherchais au fond de moi : cherchai
- l’humidité qui les recouvraient : recouvrait
- mon ouïe lui aussi : elle aussi
- dégout : dégoût
- j’inspirais : inspirai
- le long de mes temps : tempes



Par rapport au précédent, ce texte est beaucoup plus inventif, plus posé aussi. Je pense que plus tu vas travailler, plus tu vas progresser.
Donc je suis sûre que tu te feras une joie de me réécrire au plus tôt la description de ton monstre...
Narwa Roquen,travailler à ma table étroite, travailler...


  
Ce message a été lu 7316 fois

Smileys dans les messages :
 
Réponses à ce message :
4 Home run... - Maedhros (Dim 5 dec 2010 à 18:22)
4 merci - Hivernale (Sam 4 dec 2010 à 15:18)
       5 writer de la suite openoffice - z653z (Dim 5 dec 2010 à 15:40)
              6 OOO - Maedhros (Dim 5 dec 2010 à 17:02)


Forum basé sur le Dalai Forum v1.03. Modifié et adapté par Fladnag


Page générée en 467 ms - 393 connectés dont 2 robots
2000-2024 © Cercledefaeries