Ma réflexion porte sur la base de la critique qui doit être fondée sur une référence.
"Ensuite comparer l'un d'entre vous à un auteur comme Hugo, Baudelaire, Zola ou même Jules Verne ( quoique celui-là n'aurait pas de sens et serait cruel à l'égard de tous. Leurs ouvrages sont pourtant tous considérés comme des classics. D'où le qualificatif indigeste auquel toi et MorgaNetra faites si souvent référence (d'ailleurs comparé aux 3 premiers auteurs le mot médiocre relève presque de l'éloge!) ":
J'ai du mal à saisir le sens de ce paragraphe, j'ai peur de comprendre qu'il contient une critique à l'égard d'Hugo, Baudelaire et Zola... Ai-je mal interprété?"
C'est au contraire une façon de les sublimer. Ya juste Jules Verne que j'aime pas trop.
Pour ce qui est du texte réussi, je ne suis pas d'accord non plus avec ce que tu appelles la communication d'âme à âme: certains auteurs aiment brouiller les cartes en entraînant le lecteur dans un dédale. C'est un choix comme un autre.
Pour la religion je suis tenté d'être d'accord, j'ai simplement signalé que le sujet était glissant.
Pour la correction j'ai parlé de suggestions et non de corrections officielles. De toute façon le créateur est libre d'accepter ou de refuser, et suggérer ça peut être simplement donner des pistes. Sinon où est la critique constructive?