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De : Narwa Roquen Date : Jeudi 20 mars 2008 à 15:58:37 | ||
Entre nous, tu exagères ! Perseverare diabolicum ! Ben, oui, justement... Le problème c’est que ceux qui n’ont pas lu tes textes précédents risquent d’être encore plus perdus que d’habitude... A part ça et la petite répétition ( « m’emprisonnent comme dans une prison », due vraisemblablement à une distraction passagère, c’est bien écrit. Le style poétique alterne avec le mystérieux, l’inquiétant et l’obsessionnel... L’idée du train est bien trouvée : symbolique des rails parallèles, traversée de la vie sans point d’ancrage, correspondances qui s’opposent – musique, couleurs - , va et vient entre ce qui rapproche et ce qui sépare... On a tous le souvenir d’un voyage en train, la nuit, où l’on est suspendu hors du temps et de l’espace, coincé dans l’état de « voyage », terriblement séparé et en même temps libéré momentanément... Et l’air frais de la nuit qui vient rappeler qu’au dehors il y a un monde, avec des gens qui continuent à vivre... Enfin, pas tous... Je me demande s’il est encore utile que tu signes tes textes... Je te propose un challenge personnel : pour le prochain exercice, fais-moi quelque chose de ... différent ! Narwa Roquen, qui a ouvert la porte du placard (brrr) Ce message a été lu 6428 fois | ||