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De : Narwa Roquen Date : Jeudi 15 mai 2008 à 17:31:30 | ||
Dans une ambiance d’apocalypse, quand deux survivants se rencontrent, ils prennent le thé ! C’est totalement surréaliste ! Et très accrocheur... C’est un peu dommage que tu n’aies pas voulu jouer. Pisque c’est comme ça, je jouerai toute seule, na ! Encore un texte bien noir, avec un luxe de détails très réalistes. Bon. L’idée du virus qui touche à la fois l’humain et la machine est très séduisante. La création d’un monde en musique aussi. Après la photographie, la peinture, l’histoire, le maquillage, la musique moderne, voilà maintenant le Maedhros symphonique ! A quant la cuisine, l’architecture, la danse ? Tu ne cesses de m’étonner par la multiplicité de tes talents. Ca me rappelle un type qui disait « la vie est un cadeau ». Il s’appelait Jarod, je crois. Trèfle de plaisanterie, voilà un texte excellent dont il me tarde de lire la suite. Juste deux détails : - « s’éteignirent » et « tombèrent » se sentent vraiment très seuls dans un texte au présent/passé composé... - la première phrase du prologue me semble un peu en contradiction avec la suite: "Je me suis fait le plus petit possible, le plus invisible." Mais peut-être y aura-t-il une explication plus tard? Stephen King n’a qu’à bien se tenir, la relève se profile... Narwa Roquen,jouer, toujours jouer... Ce message a été lu 6407 fois | ||
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