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De : Narwa Roquen ![]() Date : Dimanche 23 mai 2010 à 11:33:01 | ||
L’idée de l’homme seul dans sa prison était effectivement intéressante. Mais le face à face de ton héros avec son assiette peut-être empoisonnée, naviguant entre ruse, logique et paranoïa est un morceau de bravoure. Tu envoies des clins d’oeil tous azimuts, le SDA, Alice au pays des merveilles, Harry Potter, Superman, Buffy et les vampires, X-men, la voie des Ombres... L’hyperactivité mentale de ton héros peut évoquer la folie, mais le stress permanent induit par le jeûne et la peur de la mort peut aussi en être responsable – à moins que ce ne soient les effets du poison. Il y a deux manières de considérer cette histoire : soit le type est fou, et alors c’est une histoire habilement écrite mais qui se limite, au fond, à une pirouette d’acrobate (doué, certes). Soit le type n’est pas fou, et ça peut déboucher sur une histoire foisonnante, richissime, époustouflante... si tu veux bien en écrire la suite... Bricoles : - manque de s : dix-huit heure, dix-neuf heure précise - verbes : les bouchées que je leur aurai accordées ; il aura agi (sans t) ; me prends la tête - quelques temps : quelque temps - accents circonflexes : brûla, coûté, goût - quand j’en parle autour de moi : à qui ? Est-ce qu’il sort de sa cellule ? Il a des hallucinations ? - évidement : évidemment - héro : c’est comme ça qu’on appelle un héros dans ton monde, ou tu as oublié le s ? - Se serait subtil : ce serait - Pentagone Je trouve que la consigne est respectée : il s’agit bien de survivre. Pour nous aussi, un peu frustrés de ta brièveté... Mais que veux-tu, quand c'est bon, c'est toujours trop court! Narwa Roquen, panne de connexion à la maison, ça complique! Ce message a été lu 7780 fois | ||
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