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De : Narwa Roquen Date : Vendredi 12 aout 2011 à 22:18:09 | ||
C’est une histoire d’horreur ordinaire, comme dans la chanson de Cabrel. A force de routine, l’individu se perd. L’idée est juste. L’ambiance évoque un peu « la nuit de Tarevaux ». Mais je suis frustrée. Pourquoi n’es-tu pas allé plus loin ? Tu t’arrêtes au moment où ça devient intéressant ! Dans « la nuit de Tarevaux », tu allais au bout, et c’était fort. Là, tu restes dans un mode mineur, alors qu’il s’agit d’un thème d’horreur... Bricoles : - cet endroit, au moins, je connais : j’aurais dit « je le connais » - programmes futiles dont je n’ai jamais vraiment compris l’utilité : redondance - j’aimerai aimer le café ( 2 fois) : j’aimerais - le temps s’est enfuit : enfui - en état de faire quoique ce soit : quoi que ( quoique = bien que) - un vertige m’envahis : m’envahit - dix-huit heure, dix-sept heure : heures - j’aimerai dire : j’aimerais J’aime beaucoup « le temps s’est enfui en oubliant de me prévenir ». Je n’ai rien à reprocher à ce texte... à part qu’il lui manque une suite. Pas forcément très longue. Juste de quoi nous donner vraiment le vertige. Alors seulement toute ta description excellente des relations routinières prendra toute sa valeur. Narwa Roquen,il faut que passent les voitures noires Ce message a été lu 6527 fois | ||