| ||
De : Narwa Roquen ![]() Date : Mardi 5 mars 2013 à 22:38:21 | ||
Comm Maedhros, ex n°116-3 Après un périple extraordinaire, les sept compagnons arrivent au terme de leur voyage. Terme qui n’est qu’une étape, mais non dénuée d’émerveillements, et qui nous permet de connaître un peu mieux les origines du Phante. J’ai bien aimé la théorie sur la complétude des mondes ; ça vous a un petit côté taoïste, même si dans le contexte ça augmente encore le danger ! La description des Phantes sous leur apparence habituelle est aussi réussie, de même que la transformation de Vak pour ce qui ressemble à de joyeuses retrouvailles. Par contraste avec les tourbillons lumineux, le quartier des aveugles est d’autant plus terne et triste, de même que les habits des femmes sont en contradiction avec la noblesse de leur visage. La comptine est un peu attrapée par les cheveux, même si ton héros est crédible. Sans doute faudra-t-il trouver une explication supplémentaire dans la suite pour nous convaincre tout à fait... Bricoles : -dans leurs dos, le pont : leur -Il n’y avait ... rien qui ressemblait : il me semble que ressemblât serait mieux - comme s’ils marchaient dans sur une tourbière : lequel des deux ? - or, nous seront repartis bien avant : serons - dès qu’ils eurent rejoints Vak et ses compagnons : rejoint - l’impression de plonger leurs regards : leur regard - aucune construction s’était en vue : n’ - Vak faisait attention où il mettait ses pas : certes, « à où » n’est pas heureux, mais c’est « faire attention à » ; peut-être « surveillait où » ? L’épopée tient ses promesses, et ton souffle ne s’épuise pas. Longue vie à cette histoire, qui nous enchante toujours ! Narwa Roquen, victime des voleurs de temps... Ce message a été lu 6416 fois | ||