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De : Narwa Roquen Date : Jeudi 20 mars 2014 à 22:13:27 | ||
Comm Onirian ex n°128 C’est une histoire courte ( 63 lignes), mais complète et cohérente. Le héros est présenté, l’intrigue se déroule, on sait le comment et le pourquoi. En trois mois il a appris le français de manière approximative mais efficace. Etonnant que son anglais soit impeccable... J’ai adoré « je cours pour que ils cherchent là où moi pas ». L’intérêt du texte ( outre le respect de la consigne) tient dans la cohérence du raisonnement du héros, et dans la comparaison de deux civilisations à travers leur conception de la justice. J’adore ce genre de texte, riche de sens, qui appelle à l’empathie et à la tolérance. Je conteste un peu ton usage des articles, parce qu’il n’est pas toujours cohérent. Tu dis le justice, et plus loin la. Parfois il n’y a pas d’article, et ça sonne d’ailleurs plus juste. Les erreurs de genre (le/la) sont toutes au profit du masculin. Tu ne mets aucune apostrophe, OK ( je aimerai, le air, le eau...)... mais quand même « quelqu’un, même s’il pas être le vrai, l’image de l’eau, je m’approche »... Le mort est d’abord le fils de l’ambassadeur, puis l’ambassadeur... Une bonne relecture, parfois... Bon, tu as peu travaillé, mais tu as bien travaillé, et c’est le plus important. Narwa Roquen, c'est le printemps! Ce message a été lu 6157 fois | ||
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