.. ben oui il y a toujours un "mais" avec moi. L'autre jour j'en ai achete une caisse entiere et j'arrive pas a ecouler le stock.
Donc je reviens a mon mais :
Le probleme c'est que j'ai cru comprendre que vous etes tous de Paris. ( Ah ! la capitale ! La ou il y a l'electricite ( sauf Scytale ), l'eau pour se laver, la television, le cinema, les voitures, la pollution, le gaz carbonique concentré... Que de belles choses lol )
Hors moi je suis un sale sudiste, et j'avoue que faire plus de 500 Km pour une soirée... non... Mais c'est vrai que j'aurais bien aimé. Mais bon, c'est comme ca, mais c'est vrai que ca m'aurait bien tenté, mais bon c'est la vie, mais en meme temps ca aurait été bien. Bon c'est bon j'ai utilise pas mal de "mais".
Donc voila.
... pourtant y a enormement de pariseins d'origines dans le sud.
Et puis je plaisante rhoooooo. C'est bien Paris. La pollution... heu... la foret ... heu arf desole lol
Le soleil, la mer, la montagne, les falaises des Cévennes, le foie gras du sud-ouest...
z653z qui a des tas d'origines diverses (sud, sud-ouest, nord-est)
ps : y'a des forêts pas loin de Paris à moins de 25 kms (sud-ouest : Ville d'avray, meudon, Vallée de Cheuvreuse... nord : Montmorency, L'isle-adam, Ecouen)
pps : et je ne connais que ces coins-là de la banlieue parisienne.
Délicieuses petites brioches en forme de bonhomme qui font la joie des enfants (et des grands aussi, y a pas de raison) aux mines réjouies quand vient le soir et que la douce odeur du chocolat chaud se répand dans toute la maisonnée...
Arg, vivement le 6 décembre !!!
Telglin, qui dans son prochain programme propagandiste alsacien vous parlera du kougelhopf (orthographe aléatoire mais on s'en fout, l'Alsacien est une langue orale qui n'a pas d'orthographe)
<i>Il y a d’abord juste un son. Comme un léger souffle de vent qui tente de passer sans se faire remarquer. Il emporte doucement avec lui le voile noir qui recouvrait l’image. Il y a un paysage. Des petites collines escarpées. Une terre sèche et rocailleuse. Une végétation d’apparence chétive mais suffisamment vigoureuse pour résister à la chaleur. La garrigue ; le mot chante comme une complainte la terrible beauté du pays. La brise s’en est allée. La caméra, perdue dans les nuages, filme d’en haut. Immobile, elle n’ose déranger la torpeur qui l’entoure. Tout semble mort. Et puis le son revient.
Il y a le chant des cigales qui rappelle soudain que ce paysage devenu tableau n’est pas un tableau de paysage. La caméra avance. Il y a des noms de villages qui sonnent comme des récits de légendes, des ruines et des bâtiments en pierre jointes qui rappellent qu’ici la légende est histoire. La caméra s’emballe et avance par monts et par vaux à une vitesse étonnante. Il y a des senteurs de thym et de romarin, d’orgeat, de melons, d’olive, de pellardons, de tomates, de pastis, de châtaignes...la caméra virevolte.
Et pourtant elle n’a pratiquement pas bougé. Ici tout est torpeur. Ici il y a des siestes qui ressemblent à des fêtes, et des fêtes comme il n’y en a nulle part ailleurs.</i>