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De : Galadriel Page web : http://www.cercledefaeries.com Date : Samedi 8 mars 2003 à 22:23:53 | ||
Je ne connais pas cette collection mais les recherches que je viens de faire sur le sujet ont vraiment éveillé ma curisioté... Voici quelques informations que j'ai trouvé : "La mode du conte de fées ne se dément pas au XVIIIe siècle. Les contes littéraires des XVIIe et XVIIIe siècles sont d'abord repris dans la littérature de colportage, puis font l'objet d'une vaste compilation en 41 volumes, entre 1785 et 1789, parue sous le titre de "Cabinet des Fées" : cette édition témoigne du succès des contes de fées jusqu'à la Révolution et met à disposition des lecteurs une foule de contes publiés dans des éditions éparses, et parfois introuvables." Autre précision : "Si le "Cabinet des Fées" est, dès le XVIIIe siècle, entré dans les fonds de nombreuses bibliothèques, il est bien sûr impossible de le trouver aujourd'hui en librairie. C'est pourquoi Champion a créé une collection spéciale, la "Bibliothèque des Génies et des Fées", qui reproduira la totalité des contes parus dans le "Cabinet des Fées" et y ajoutera, pour la première fois, le corpus complet des contes orientaux et des contes libertins publiés au XVIIIe siècle. Il ne s'agira pas toutefois d'une simple transcription de l'imposant "Cabinet", mais d'un vrai travail d'édition critiques annotées, à partir des textes originaux. Les ouvrages seront munis de notes, de notices et d'index, de façon à offrir au lecteur et au chercheur un outil de travail précieux et fiable." Source : http://perso.club-internet.fr/ctghee/contes/menu_principal.htm Dernière précision : À la veille de la Révolution paraissent à Amsterdam les quarante et un volumes du Cabinet des fées. Visant à réunir les contes du siècle passé, ce monument littéraire est le fruit du travail de compilation du chevalier Charles-Joseph de Mayer (1751-1825). Cet ensemble s’inscrit dans la tendance des grandes collections qui paraissent par souscription au XVIIIe siècle. Mayer poursuit deux buts essentiels : sauvegarder des contes risquant de tomber dans l’oubli et fournir aux générations futures des modèles et des sources d’inspiration. Sûr de lui, Mayer affirme ses choix, sélectionne et hiérarchise : une quarantaine de conteurs retenus, les contes libertins écartés et, bien entendu, la première place donnée à Perrault. Source : http://expositions.bnf.fr/contes/feuille/cabinet/intro.htm Galadriel. Ce message a été lu 4733 fois | ||
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