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De : Maedhros Date : Lundi 11 novembre 2013 à 17:02:51 | ||
C'est le portrait d’un être cher qui s’est confondu avec les ombres l’entourant déjà, comme une atmosphère délétère. C’est un portrait en noir et blanc où le noir finit par l’emporter. Un portrait tout en clair obscur, noyé d’ombre, une sorte d’invocation pour tenter de réécrire l’histoire, mais hélas, vouée à l’échec. Un drame intime rôde entre ces lignes, certains détails y font allusion, comme le choix des mots également : la fuite, la fin, l'automne... Le paragraphe qui commence par « En réalité... » est vraiment excellent. Chaque mot rappelle cette fatale attraction qui l’attire vers le bas, toujours plus bas. La force de l’amour ne peut rien pour freiner cette inexorable descente aux enfers. Il y a un désespoir poignant dans la façon dont tu décris cette tragique histoire. Alors oui, certaines expressions sont perfectibles, et j’ai noté une ou deux bricoles par-ci par-là. Mais, à mon avis, rien qui n’altère vraiment la qualité de ce texte. La consigne est bien respectée. Au fait, Yiruma, c’est « The river flows in you » ? Well done ! M Ce message a été lu 5745 fois | ||
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