Version HTML ?

Un bonheur inaccessible ?

On entend des rires, un timbre de voix enchanteur, un son féminin et enfantin. Tout autour, un monde imperceptible, on aurait presque l’impression d’être au milieu du « rien », un espace stérile. Cependant, on n’a aucune impression, les idées ne se faufilent plus dans notre esprit ; on est vide, mais en même temps, empli d’une énergie mystérieuse, le coeur devient le centre de notre corps et non plus le cerveau. Notre vie a changé de Soleil. On sent ce coeur devenir léger, prêt à s’envoler, quelle agréable sensation... Notre corps prend son envol, guidé par ce magnifique sentiment de bonheur. Ce voyage merveilleux implique l’entrée dans ce monde imperceptible, ce rêve inaccessible pour beaucoup, et trop souvent frôlé pour d’autres. Les yeux sourient tout autant que les lèvres. A l’ouverture de ces deux petites perles souriantes, on aperçoit un ange... Voilà donc la source de ces rires si plaisants. On ne s’inquiète plus de savoir ce qui se passe autour de nous, notre esprit est libéré, notre coeur a pris son envol, ce coeur auparavant enchaîné par les liens blessants de nos soucis, de la réalité. Cet ange nous absorbe de son regard, tel deux étoiles pleines de vie, de... bonheur.
Les rires cessent.
Silence phénoménal, digne d’un retour à la réalité. La peur s’insinue, empoignant le coeur, on commence à avoir mal... On ne veut pas quitter ce nouveau monde. Pourquoi ? Comment ? Où est-on ?... On se sent devenir lourd, l’âme alourdie de ces chaînes qui nous ont toujours enfermés dans cette réalité. Ici, tout est dur, réglé, le cerveau redevient centre de notre vie, le coeur a repris sa prison d’argent. Alors on repense à cet ange. Qui était-il ? Le reverrons-nous ? Un jour peut-être, si on trouve la clef. Cette clef encore cachée, inconnue, enfouie au plus profond de nous. A sa trouvaille, nous pourrons ouvrir cette prison qu’est ce monde réel, et retrouver l’autre monde, s’envoler, devenir papillon volant au gré des rêves.
On repense tous les jours à cet ange, ses rires, ses yeux, le désir de bonheur s’amplifie au fil du temps. Un jour, sûrement, on deviendra libre.

Ecrire à Mahëly
© Mahëly



Publication : 01 juillet 2007
Dernière modification : 01 juillet 2007


Noter cette page : Vous devez vous identifier pour utiliser le système de notation
Page 1 - Page 2 - Page 3
Aaricia
Amitié  
Aredhel
Tinkerbell  
CATHY ECK
Comme un rêve  
Message d'un ange  
Par dela les mots  
Colibri
Le Miroir de Capuchon
Les fées du Sorbier
Colibri et Kalfea
L'elfe et la fille-oiseau
DESIDERIA
Elfe  
Innocence  
La Flamme Bleue  
La Nonchalante  
Margot la Noire  
Reine  
Vampire  
Vigilance  
Edhel
Reine Elfe  
Elannore
Complainte de Nimrodel
Endoriël
A Shadow of the Past
Femme au dragon
Isil de Nacre
Kulgan et Fantus
Gaiaaa
Démone  
Magrat  
Mélusine
Kendra
Eärendil  
Poèmes Arthuriens  
Miriamélé
Evidence
Narwa Roquen
Retour à Chiswarta
Necsipaal
Daeron
Reya
Vanité
Shadow Fae
La tisseuse
Zell
Demi-elfe  
callia
Toi et Moi  
ze-poete
Aspiration Tolkienienne  

Page 1 - Page 2 - Page 3

signifie que la participation est un Texte.
signifie que la participation contient un Dessin.


2 Commentaires :

Netra Ecrire à Netra 
le 17-08-2007 à 11h42
de fait...
D'accord avec Estellanara, et j'ajouterai que le "on" est maladroit, un "il" general aurait ete plus elegant.
Estellanara Ecrire à Estellanara 
le 18-07-2007 à 17h00
C’est un peu court jeune homme…
Ce texte aurait gagné à être écrit en vers. Il me paraît trop court pour constituer une nouvelle. J’ai noté plusieurs répétitions et maladresses de style. La dernière phrase est intéressante et rehausse le texte. Persévère et n’hésite pas à venir t’entraîner avec nous sur le forum avant le prochain concours !


Ajouter un commentaire

Pseudo
Mail
Titre ou commentaire concis
Commentaire détaillé
(Optionnel)





Retour a l'index Librerie


Page générée en 916 ms - 452 connectés dont 3 robots
2000-2024 © Cercledefaeries