Lorsque l'Immensité appelle ses enfants
Dans les douceurs feutrées du souvenir,
A la lumière de ces instants sauvages
Couvre-toi de mémoire car tu es attendue.
Jette sur tes épaules ces sombres heures perdues,
C'est un passé que je viens te confier
Ame chimérique je t'ai connu et oublié
Le temps s'est glissé en moi, s'est immiscé dans nos secrets
Chasse l'envoûtement de ce tendre ennemi
Flamme enfant, femme désir
Vient s'égarer dans ces tourmentes indécises
L'oubli dont tu dois te départir,
C'est d'hier dont je suis venue te parler
Arrache-moi à mes inquiétudes
Dieu comme tout se perd, tes grands yeux me sont étrangers
Qui épousaient mes délires.
Au-delà des années ne cesse ton emprise,
Dans les songes du devenir
Dansent à ta porte réminiscences et joies passées.
Diables ou démons ne sauraient s'imposer
Allume ta lanterne amie, car cette nuit
Des ténèbres une lueur a surgit.
Sa flamme est bleue.
|
|
le 23-03-2007 à 12h33 | !!! | |
C'est ma flamme bleue? (ou simple égocentrisme de ma part?) | ||
le 08-01-2007 à 17h21 | Chaos poétique | |
La versification est désordonnée avec une métrique non régulière et pas ou peu de vers. Le propos est par ailleurs peu clair et des libertés sont prises avec la grammaire. J’ai néanmoins noté un effet de style intéressant avec la rupture de phrase sur « qui épousaient mes délires » et un vocabulaire recherché. Gambatte kudasai ! | ||
le 14-08-2006 à 11h23 | Flamme Bleue | |
Ce poème concerne l'une d'entre vous, en espérant que la personne visée sache se reconnaître |