Papillon noir
Lorsque la grande porte s’est ouverte
Dans une tristesse illuminée de petites lucioles
Et ce fut mon âme, dans sa petitesse, qui prit feu, telle l’allumette
Pourtant, toujours mon coeur restera hanté par ces bestioles.
Vole, papillon noir, vole
Quitte ton foyer, quitte ton sol
Car c’est là que ton coeur s’est assombri.
Toute la vie, j’ai senti cette cage peser sur mes épaules
Son joug, brutalement froid et
Le mal qu’elle me faisait, froides étaient les chaînes qui retenaient mon corps gelé
Depuis, j’ai brisé mes chaînes, je ne pleure plus comme le saule.
Je suis papillon noir, autrefois séquestré
Rêves amputés, ailes brûlées
Libre et enfin, je peux voler.
Publication : 12 août 2006
Dernière modification : 07 novembre 2006
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